06 January 2010 AFRALO Transcript FR
Fatimata : Nous avions invité Anne-Rachel. Et Tijani pourrait peut-être répéter le nom des autres. Bon, il y avait Cheryl avec nous.
Tijani : Oui.
Fatimata : Et évidemment les membres du staff. Et il y avait une autre personne qui nous appuyait par rapport au budget. Et nous avons principalement discuté du programme de renforcement des capacités,
Tijani : Exact.
Fatimata : Pour Nairobi.
Tijani : Oui.
Fatimata : Et en fait nous avions invité Anne-Rachel. C’était pour avoir son appui et son éclairage par rapport à un éventuel support de AFRI-DiC (ph) pour le financement de la participation des ALS africaines. Nous avions vu qu’il n’y avait pas un seul – une seule ALS qui était sponsorisée par ICANN parmi les 20 ALS de la liste. Et donc il nous faut trouver carrément un financement. Après une discussion, Anne-Rachel nous avait fait comprendre qu’il y avait des trop maigres chances du côté de (inaudible) et même de la francophonie. Mais ce qui a été discuté finalement c’était carrément d’écrire un projet, un document de projet pour demander un financement au niveau des agences d’intégration dans leurs pays respectifs et également demander l’appui des chapitre ISOC ou ISOC International, demander à toutes structures qui seraient susceptibles de nous appuyer pour avoir le maximum de participants a Nairobi.
Et sur le plan budgétaire il y a eu les discussions par rapport à l’évaluation que nous avions faite avec Tijani. Et on avait, avec le staff de at large, la personne qui était invitée donc, je n’ai plus le nom.
Tijani : Nick. Nick. C’est Nick Tomasso.
Fatimata : C’était Nick Toma?
Tijani : Tomasso.
Fatimata : Ah, Nick Tomasso.
Tijani : Oui.
Fatimata : Okay. Okay. Donc Nick nous aidait pour faire une évaluation plus appropriée aux données partielles par rapport au billet et les chambres d’hôtel et autres au niveau de Nairobi.
Et donc, pour cette réunion d’aujourd’hui, nous avions donc travaillé sur le projet de – sur un projet de document et finalisé à qui on doit l’envoyer, les procédures, etc. Et le – et le deuxième point de discussion que nous avons eu déjà en ligne c’était donc par rapport au plan stratégique de 2010-2013 où on demandait quelle serait la position d’AFRALO. Et pour se faire donc nous avons demandé une présentation avec Theresa Swinehart qui nous présenterait donc le document, disons, pour que nous puissions poser des questions, avoir des réponses afin d’avoir une position africaine.
Donc voilà un peu. Peut-être que Tijani va compléter, s’il y a des choses que j’ai oubliées certainement. Et éventuellement Dave qui était là également.
Tijani : Oui. Donc Theresa viendra à 19 h 30 nous faire cette présentation.
Fatimata : C’est ça.
Matthias : En fait, ici c’est Matthias, elle vient de me dire qu’elle va être en retard et va nous joindre entre 19 h 55 et 20 h 30.
Fatimata : (Inaudible) 20 h. Oui.
Tijani : Je crois que c’est une bonne chose.
Fatimata : Oui, c’est une bonne chose. Ça nous permettra...
Tijani : Oui (inaudible).
Fatimata : Ça nous permettra, voilà, de voir.
Tijani : Voilà. Bon, je voudrais – juste Tijani peut parler? Je peux parler?
Fatimata : Oui, bien sûr, Tijani. Vas-y. Je t’ai invité à compléter.
Tijani : Bien. Donc concernant l’outreach program,
Fatimata : Oui.
Tijani : Nous avons préparé donc un document de travail qui va être complété, qui va être amélioré, bien sûr. Le financement est le point clé, est l’élément clé. C’est juste ça qui manque, finalement, parce que tout le reste, on a presque préparé – on a presque une vue claire de ce qu’on veut faire et de (inaudible). Seulement le financement. Et le financement, bon, plusieurs propositions... Et jusque-là nous n’avons rien en main. Et je crois que les prochains jours vont être décisifs pour ce programme, concernant le financement. Mais notre part d’effort est de faire venir le maximum de personnes, le maximum des ALS et au mieux des personnes de chaque ALS si on trouve le financement, pour un programme de capacity building qui sera – qui aurait pour but de (inaudible) aux ALS et aux représentants des ALS la possibilité, la capabilité de participer positivement au processus d’ICANN dans les commentaires publics, dans les groupes de travail, dans tout ce qui concerne le travail d’ICANN pour participer à la prise de décision, parce qu’autrement ils ne participeront pas à la prise de décision s’ils ne participent pas aux différentes activités. Et nous avons besoin que l’Afrique ait son point de vue à être pris en considération pour les décisions (inaudible).
Donc c’est ça à peu près le but de (inaudible).
Fatimata : Oui. Tijani par rapport... Tijani?
Tijani : Oui.
Fatimata : Par rapport à, donc, à la réunion du 2, on n’a rien oublié. C’était tout.
Tijani : Tu as parlé de la réunion du 2 et tu as parlé de la réunion du groupe de travail.
Fatimata : C’est ça.
Tijani : La réunion du 2 c’était la réunion AFRALO mensuelle, comme aujourd’hui. Et la réunion du 2, bon, on a fait le – on n’a pas pris les...
Fatimata : Il n’y a pas de note.
Tijani : Non. Il n’y a pas eu de...
Fatimata : (Inaudible) parler de, voilà, de la réunion du groupe de travail.
Tijani : Voilà. Et je suggère que cette réunion doit avoir, donc, des minutes, un PV quoi, un PV qui doit être circulé. C’est très important parce que... Au moins pour les gens qui n’ont pas assisté, qui ne peuvent pas assister, au moins qu’ils aient une idée de ce qui s’est passé.
Fatimata : Oui.
Matthias : Tijani, c’est Matthias.
Fatimata : Oui?
Matthias : Une autre question. Parce qu’en fait...
Interprète : Qui parle maintenant?
Matthias : C’est Matthias.
Interprète : Matthias, merci.
Matthias : Oui, j’ai une question là-dessus en ce qui concerne le rapport, les minutes. Parce que là, dans les autres réunions c’est notamment le secrétaire qui formule les (inaudible)...
Fatimata : Qui le fait.
Matthias : Oui, le rapport. Et je voulais vous poser la question : Comment vous voulez faire – si vous voulez désigner quelqu’un qui va prendre les notes et qui va les publier ou si vous voulez choisir quelqu’un pour chaque meeting? Ou peut-être adopter une autre...
Fatimata : Oui, Matthias, c’est au secrétaire d’habitude de faire le rapport. Il est vrai que Didier s’était absenté et on n’avait pas désigné quelqu’un d’autre pour le faire. Mais normalement, idéalement avec – je vous demande avec le staff, on a (inaudible) pour le transcript qui pourrait lui permettre de faire le rapport même s’il n’était pas présent. Avec l’appui de tout le monde, des participants, bien sûr. Un draft peut être envoyé et on peut amender. Et puis ils vont dire, on a oublié quelque chose ou autre quoi. Normalement il y a des transcripts. Ou bien ce n’est pas (inaudible) comme c’est les réunions régionales?
Matthias : Ça je ne sais pas. Ça, je pense que normalement, pour les réunions de la région il n’y a pas de transcript. Mais si vous voulez, on pourrait demander les transcripts et je vais voir si c’est possible d’en avoir.
Fatimata : Oui, ça serait une bonne chose. Parce qu’au moins, quand il y a des... Quand, par exemple, Didier est absent, à ce moment-là ça sera facile de – pour lui, de reconstituer le rapport.
Matthias : Très bien. Alors je vais demander si c’est possible.
Tijani : Autrement il y a l’enregistrement.
Matthias : Tout à fait, oui.
Fatimata : C’est ça. Oui. Yaovi, tu avais demandé la parole tout à l’heure, est-ce que...
Yaovi : C’était par rapport au projet que – Tijani faisait (inaudible) hier et quelque part...
Interprète : Je m’excuse. Est-ce que vous pouvez répéter quel est le projet? J’ai pas bien entendu. Merci.
Yaovi : Oui. C’est le projet de renforcement de capacité à la réunion de Nairobi. Mon intervention c’est par rapport au financement. Et dans ce document, c’était supposé que les gens de non-com, on n’a pas besoin de financement pour non-com. Officiellement, non-com ne finance pas la participation des deux membres à la réunion de Nairobi. Donc c’était cette information que je veux apporter, donc, pour qu’on en tienne compte dans le budget. Officiellement c’est pas encore sûr que non-com va financer la participation de ses membres à la réunion de Nairobi. Merci.
Fatimata : Merci Yaovi. Mais je pense que, pour ce qui te concerne, tu n’as – tu n’appartiens pas à une ALS?
Tijani : Si. Si.
Yaovi : C’est ce que je dis.
Fatimata : C’est ça. Donc de toute façon, nous, dans le projet, dans le projet nous avons listé donc toutes les ALS. Aujourd’hui il y en a 20 et dans la requête de financement, nous avons demandé à (inaudible) qu’il y ait au moins un représentant par ALS. Donc c’est (inaudible)-là que nous avons stabilisé. Nous avons eu – réalisé avec regret qu’il n’y avait pas eu de financement pour aucune de nos ALS.
Baudouin : Je peux prendre la parole s’il vous plaît?
Fatimata : Allô? Baudouin.
Baudouin : (Inaudible) parler là. Oui.
Fatimata : C’est Baudouin?
Baudouin : Oui, c’est moi. Oui c’est Baudouin.
Fatimata : Oui. Prenez la parole. Vous l’avez.
Baudouin : Oui. Je voudrais demander (inaudible) quelles sont les ALS qui sont retenues, parce que vous avez dit qu’il y a un ALS et un ALS (inaudible) une représentation de chaque ALS. Quelles sont les ALS qui sont retenues? Il faudrait quand même que ça (inaudible).
Fatimata : C’est toutes les ALS qui sont (inaudible). En fait c’est tous les membres d’AFRALO. Donc comme le...
Baudouin : Pour Nairobi (inaudible), est-ce que c’est arrangé déjà.
Fatimata : Non, non. Baudouin, il n’y a rien encore d’arrangé. Nous sommes à la recherche de financement. Nous sommes en train de réécrire un projet de document (inaudible) un projet de document à soumettre, comme j’ai annoncé tout à l’heure, aux agences de régulation de (inaudible) communication dans leurs pays respectifs. Au niveau régional, au niveau international, nous sommes en train, donc, de faire de la recherche de financement. Donc nous sommes en train de travailler, justement, sur un document de projet à soumettre à des sponsors potentiels. Donc il n’y a rien de spécifié.
Baudouin : Okay. J’ai compris. Merci.
Fatimata : Mohammed?
Interprète : Mohammed veut poser une question, s’il vous plaît. D’accord?
Fatimata : Oui.
Interprète : Merci Fatimata.
Fatimata : On écoute.
Interprète : Go ahead Mohammed.
Pour Mohammed : Mohammed dit à Fatimata et Tijani : Quelle est la période, le délai de temps pour avoir les réponses, pour avoir les possibles sponsors pour ce qui concerne le budget? Et qui – et à qui est-ce qu’on parle maintenant pour être sponsorisé? Est-ce qu’on essaye d’avoir une réponse? Est-ce que vous cherchez d’avoir quelqu’un, par exemple, pendant – dans les prochains dix jours ou quoi?
Fatimata : Mohammed, si ma mémoire est bonne, tu fais partie du groupe de travail. Et nous, nous sommes en train de travailler justement sur le document de projet et, je veux dire, tout input serait bienvenu. Évidemment, ce qui serait – ce qui aurait été bien c’est qu’avant, c’est que d’ici la semaine prochaine qu’on puisse avoir ce document-là prêt et envoyé déjà aux sponsors potentiels. La dernière fois nous avions dit que ce serait adressé aux agences de régulation. Mais c’est pas la seule cible. Je vois que Dave a eu une réponse de ISOC...
Participant non-identifié : Attendez deux secondes s’il vous plaît.
Interprète : Qui est-ce qui parle? Je pensais que c’était Fatimata. Quelqu’un d’autre parle maintenant?
Fatimata : Moi aussi, j’ai entendu quelqu’un dire : « Attendez s’il vous plaît. »
Interprète : Oh. Continuez Fatimata alors.
Fatimata : Donc je disais que j’ai vu que Dave a reçu une réponse pas positive d’ISOC, pas tout à fait positive d’ISOC, moi je crois, par rapport à la requête. Mais en fait, comme nous n’avions pas encore fait de document, de projet à proprement parler avec tout le contenu qu’il faut, bon, je pense qu’on pourrait continuer à taper à la porte. Mais le tout c’est qu’il faudrait que nous puissions déposer ce document de projet, disons, au plus tard le – avant le 15 pour prétendre avoir une réponse début février au plus tard. Et en poussant, bien sûr. Mais il faudrait qu’on donne au moins, aux sponsors potentiels, au moins deux semaines.
Interprète : Mohammed veut parler, veut répondre. D’accord?
Fatimata : Oui. Mohammed va répondre, ensuite on donnera à Dave la parole.
Interprète : Okay. Mohammed, go ahead. Go ahead Mohammed. Mohammed parle maintenant.
Pour Mohammed : Je suis membre de ce groupe de travail, c’est vrai, dit Mohammed, mais dans les dernières deux semaines il y n’avait pas d’activité, peut-être des emails. Et avant ça, moi j’avais posé la question dans quelques emails qu’on doit absolument avoir le document final préparé pour pouvoir présenter aux sponsors potentiels. Nous avons déjà eu de la communication avec quelqu’un des sponsors potentiels sans avoir complété, le document du plan complété. Je pense qu’on doit avoir des résultats des sponsors. Pour avoir ces résultats on doit avoir de la communication claire, de manière que le document est bien préparé et finalisé pour avoir une réponse du sponsor, évidemment. Alors on peut s’attendre d’avoir peut-être des résultats plus concrets ou au moins des réactions. Je suis disponible pour travailler encore avec le groupe, dit Mohammed. Mais on doit réactiver les emails parce qu’il faut parler de ce sujet, parce que c’est depuis au moins deux semaines qu’on n’en parle plus dans les emails.
Alors sur le Wikie, la page Wikie on doit activer ça et commencer à travailler au moins pour produire le document. Ça pourrait être envoyé pour avoir un point focal de communication, par exemple, au chair, au directeur du groupe qui peut être en contact avec les sponsors. Je pense que ça c’est une idée qui peut marcher.
Interprète : Thank you Mohammed.
Fatimata : Merci Mohammed. Dave?
Interprète : Qui parle maintenant, s’il vous plaît?
Fatimata : Dave avait demandé la parole.
Interprète : Oh, merci. Okay.
Tijani : Dave (inaudible) en anglais, hein?
Fatimata : Oui.
Interprète : Dave du côté anglais.
Pour Dave : Dans notre dernier groupe de travail, je me rappelle, avec Cheryl, on a mentionné des faits qu’elle a eu des informations des chefs D’ISOC. ISOC (inaudible) un projet pour sponsoriser des réunions ICANN. Je me rappelle que Cheryl a mentionné déjà ça dans notre dernier groupe de travail. Alors, dit Dave, je pense que les communications ont déjà commencé avec ISOC et on a reçu une communication du côté du bureau africain en confirmant qu’ISOC (inaudible) un projet pour sponsoriser parce qu’il a déjà – ils ont déjà leur évènement. Et je pense que ça a été déjà informé, Fatimata.
Fatimata : Oui.
Interprète : Pour Dave : Et Heidi et Fatimata (inaudible) d’ICANN, je pense qu’ils nous ont informés de ça. C’est tout ça que je – c’est tout ce que je voulais dire de mon côté, dit Dave.
Interprète : Thank you Dave.
Tijani : Tijani.
Fatimata : Oui. Merci Tijani?
Tijani : Oui. Merci Fatimata. D’abord je veux remercier Dave pour les efforts qu’il a déployés depuis le départ pour avoir des sponsors. Il a été un homme de terrain et il a tout de suite passé à l’acte, et c’est très bien.
Fatimata : Oui.
Tijani : Deuxième question, deuxième chose que je voulais dire c’est que nous n’avons pas le temps. Les délais qu’on est en train de parler ne sont pas, à mon sens, ne sont pas recevables parce que le visa pour le Kenya n’est pas facile pour tout le monde. Et il y a des nationalités pour lesquelles ça peut traîner plusieurs semaines. Donc...
Fatimata : Ou bien trois mois.
Tijani : Donc nous avons besoin d’activer l’opération, surtout de recherche de fonds et de levée de fonds pour avoir des réponses très rapidement, pour qu’on aille de l’avant et pour que les gens postulent déjà pour des visas. C’est très important. Donc notre projet doit être décidé définitivement d’ici une semaine, au plus tard deux semaines. Et je pense que deux semaines c’est déjà tard.
Fatimata : C’est pour ça que je disais que le projet on doit le terminer au plus tard début de semaine prochaine. C’est-à-dire, il faudrait qu’on puisse envoyer le projet au plus tard la semaine prochaine pour qu’au plus tard... Les deux semaines que j’ai indiquées tout à l’heure c’est par rapport à la réponse des sponsors potentiels.
Tijani : D’accord.
Fatimata : Mais non par rapport à nos (inaudible) parce que sinon c’est trop tard.
Tijani : D’accord. Et de toute façon le projet sera prêt, Fatimata, avec ce que tu as envoyé. La semaine prochaine tu vas recevoir quelque chose de plus – une compilation, si tu veux.
Fatimata : Oui. C’est ça.
Tijani : Voilà.
Fatimata : Si on peut avoir les éléments du budget ça serait bien, parce que comme ça, au moins, on sait quoi demander aux sponsors.
Tijani : Oui. Alors parlons du budget, Fatimata. Je peux? Je peux parler?
Fatimata : Oui.
Tijani : Oui. Parlons du budget...
Interprète : Qui parle? Qui parle s’il vous plaît?
Tijani : Tijani.
Interprète : Ah, Tijani.
Tijani : Pendant la réunion du groupe de travail sur ce programme de Nairobi, Nick Tomasso avait dit que les prix des hôtels n’étaient pas réalistes et qu’ils sont loin, les (inaudible) sont loin de la réalité. Mais j’avais dit moi, dans cette réunion, que je sais que dans les pays africains, avec 150 dollars on peut avoir des chambres très bien, très propres et très bien. Mais on a des – j’avais décidé aussi de prendre contact avec des gens que j’avais déjà contactés ã Séoul, des gens du Kenya, qui m’ont promis de trouver des hôtels de bon standing à des prix abordables pour les participants africains. J’ai pris contact déjà avec cette dame et pas plus tard que cet après-midi, elle m’a confirmé qu’elle va m’envoyer, demain ou après-demain, la liste des hôtels qui seront, donc, de bon standing et de – et abordables. Ça c’est un côté.
Un autre côté, j’ai essayé de chercher sur l’Internet et j’ai trouvé un hôtel, par exemple un ou deux hôtels de quatre étoiles qui semblent pas être mauvais, qui sont à 150 dollars à peu près. Donc voilà. C’est – j’ai voulu donner cette information. Est-ce qu’on va trop dans (inaudible)?
Fatimata : Oui.
Interprète : Excusez-moi, j’ai pas entendu le dernier, après que vous avez dit : « J’ai trouvé des hôtels. » À la fin je n’ai pas entendu le dernier.
Tijani : Sur Internet j’ai trouvé un ou deux hôtels qui sont...
Interprète : Ça j’ai entendu. C’était après ça.
Tijani : D’un bon standing à 150 dollars à peu près la chambre.
Interprète : Okay. D’accord.
Tijani : Voilà.
Fatimata : D’accord. Donc avec le prix du billet et... La moyenne pour le billet c’est...
Tijani : J’ai fait 1 500 . J’ai fait 1 500.
Fatimata : Oui. Donc on (inaudible) faire le calcul et finaliser le projet (inaudible) début de semaine prochaine.
Tijani : Oui, oui. Bien sûr. Bien sûr.
Fatimata : Maintenant, la question que je voudrais poser à tout le monde, d’ailleurs j’en ai un peu parlé dans le projet qu’on est en train de travailler Tijani et moi. J’aurais proposé, je ne sais pas si c’est une bonne idée, que chacun de nous (inaudible) son projet au niveau de son pays déjà pour trouver un sponsor local. Est-ce que c’est faisable? Déjà, (inaudible), des démarches que nous allons faire ensemble sur le plan régional et international. Sur le plan international nous allons quand même soumettre le document à la francophonie. Bon, je me chargerai de la faire. Et maintenant, il faudrait voir, même peut-être, je ne sais pas. quelles sont les autres sources possibles que nous pouvons avoir. Par exemple les agences de régulation nationales au niveau de nos pays respectifs, la francophonie. Et qui d’autre on avait dit, Tijani? Mohammed? Dave?
Tijani : On avait dit ISOC, la francophonie, l’Union européenne. On avait fait beaucoup de propositions, hein?
Yaovi : On avait listé la Banque mondiale. Yaovi.
Tijani : La Banque mondiale. Oui. C’est vrai.
Fatimata : Qui est-ce que veut porter le projet au niveau de la Banque mondiale? On le fait... Donc vous savez très bien que les rapports ça compte. Je veux dire...
Tijani : Oui. Les connaissances.
Fatimata : Les connaissances.
Tijani : Oui, je comprends.
Fatimata : Il ne suffit pas d’envoyer le projet comme ça à la Banque...
Michel : Michel parle. Est-ce que je peux parler?
Baudouin : Je peux faire une proposition là?
Fatimata : Oui. (Inaudible).
Interprète : Attendez. Mohammed voulait parler. Est-ce que vous voulez qu’il parle?
Fatimata : On donne la parole à Michel, ensuite à Mohammed.
Interprète : Okay. One moment Mohammed. Michel and then you.
Tijani : Baudouin aussi il veut parler, hein?
Fatimata : Après Mohammed.
Interprète : Alors Michel maintenant.
Michel : Okay. Merci beaucoup. Moi je pense que le...
Interprète : Parlez plus fort s’il vous plaît.
Michel : Oui. La proposition de Fatimata me semble pertinente. Je pense qu’il serait – on ne perd rien à faire des propositions au niveau national, à porter le dossier au niveau national, au niveau des agences de régulation pour essayer de chercher des opportunités de financement. Mais au niveau de la Banque mondiale, le succès de l’organisation (inaudible) institutions internationales sont très différentes (inaudible) régionales comment ça va se passer. Si (inaudible) par exemple la Banque , la Banque, il faut aller (inaudible). Donc (inaudible).
Interprète : Il faut aller quoi? J’ai pas entendu, s’il vous plaît. Pour l’international il faut faire quoi?
Michel : Je dis, au niveau des institutions internationales, les choses sont organisées de manière un peu particulière, c’est-à-dire au niveau de sous-régions. Si je prends l’exemple de la Banque, il faut quelqu’un qui a des attaches, par exemple, (inaudible) le siège. Comment est-ce que nous allons nous comporter au regard des délais.
Fatimata : Merci Michel. C’est pour cela que j’ai dit qu’on ne peut pas, sur le plan régional et international, il n’y a que nos connaissances qui vont nous aider aujourd’hui.
Michel : Tout à fait. Tout à fait.
Fatimata : Parce que les... Sinon, si on prend la voie standard, c’est sûr qu’on va se heurter à un mur, parce que les idées c’est toujours... C’est pour ça qu’on essaye de brûler les étapes pour arriver à la bonne personne qui va prendre la bonne décision pour nous.
Michel : D’accord. Je pense que c’est ça.
Fatimata : Oui. Mohammed?
Interprète : D’accord. Mohammed parle.
Pour Mohammed : Oui. J’étais en train de suggérer, basé sur le point de Fatimata, de chercher de trouver des contacts, et les contacts individuels, les personnes qu’on connaît par exemple, personnellement. Ça serait d’une grande assistance. Je pense que c’est très important d’avoir une liste de personnes qu’on connaît chacun, soit de manière régionale africaines ou bien des organisations, que ces personnes peuvent nous répondre, de manière... On n’a pas besoin de beaucoup de temps pour avoir réponse de ces personnes. Alors il faut utiliser nos contacts et mettre des noms dans le Skype aussi.
Fatimata : Oui.
Interprète : Pour Mohammed : Et si on a cette liste on commence à communiquer avec ces gens en parlant avec ses contacts pour avoir une réponse beaucoup plus accélérée.
Fatimata : Oui. Moi je...
Interprète : Didier voudrait parler maintenant. D’accord?
Fatimata : Il y a d’abord Baudouin avant (inaudible).
Interprète : Baudouin. Okay, Baudouin. So first Baudouin et then Didier. Go ahead. Alors Baudouin. Baudouin to start.
Baudouin : Je voulais faire une proposition de mon côté, hein? Est-ce que vous pouvez faire une lettre à ISSA (ph) RDC parce qu’ISSA RDC peut éventuellement me prendre en charge pour ma participation à Nairobi, à ICANN Nairobi. S’il est possible de leur adresser une lettre. Je vais essayer de vous envoyer les coordonnées demain.
Interprète : Je ne vous entends pas très bien. Pouvez-vous parler plus fort et plus clairement? Merci. Répétez s’il vous plaît.
Baudouin : (Inaudible). Je dis que si vous pouvez...
Fatimata : Oui. Baudouin demande...
Baudouin : Oui?
Fatimata : Oui, vas-y.
Baudouin : Je voulais faire une proposition dans ce sens qu’il est possible qu’ISSA RDC puisse me prendre en charge. Serait-il possible qu’au niveau du bureau d’AFRALO, de leur envoyer une notification officielle dans ce sens, ce qui leur permettrait de prendre une décision le plus rapidement possible.
Fatimata : Baudouin, je pense qu’on va demander l’avis de Cheryl. Mais si la réponse était positive, ce que je vais conseiller c’est de nous faire tout de suite le draft, de nous faire le draft de la lettre qu’il faut. Et on demandera à Cheryl de la faire endosser s’il le faut. On pourra le faire avec – on va créer peut-être du papier . Mais en fait, AFRALO, etc. Mais il faudrait que, je ne pense pas que cela puisse poser problème. Je ne le pense pas en tout cas. Mais on aura besoin de l’approbation
de Cheryl.
Baudouin : (Inaudible).
Fatimata : Oui. Matthias? Peut-être que Matthias nous dira la réponse? Cheryl est dans un autre appel je crois.
Matthias : Oui, elle est dans un autre appel, mais je pense qu’elle est sur Skype. Alors si on puisse poser la question sur Skype, je pense qu’elle puisse nous répondre aussi.
Fatimata : Oui, d’accord.
Matthias : Je cherche.
Fatimata : Il y a Didier qui voulait parler.
Interprète : Somebody on the English channel...
Fatimata : Didier. C’est Didier. Et Didier (inaudible) the French Channel. Right?
Yaovi : Yaovi.
Didier : Allô? Est-ce que vous m’entendez?
Fatimata : C’est Didier d’abord. Oui.
Didier : Okay. Est-ce que vous m’entendez? (Inaudible).
Interprète : Est-ce que Didier... Attendez, je m’excuse. Mais j’ai besoin – je ne peux pas avoir deux personnes à la fois. Dave veut parler et aussi Didier. Qui parle maintenant Fatimata? Didier?
Fatimata : C’est Didier qui avait la parole.
Interprète : D’accord. Alors Didier. So hold on a... Continuez Didier.
Didier : Est-ce que vous m’entendez? C’est Didier ici. Est-ce que vous m’entendez? (Inaudible).
Fatimata : Oui Didier. Moi je t’entends bien.
Interprète : Je n’entends pas très bien. Alors si je n’entends pas bien il faut que Fatimata répète ce que Didier dit, parce que ce n’est pas très clair. Merci.
Fatimata : D’accord. Okay.
Didier : Bon. Moi ma question est de savoir si vous m’entendez. Fatimata, est-ce que vous m’entendez?
Fatimata : Oui. Tricia, est-ce que tu l’entends?
Interprète : Plus ou moins. Commencez et puis si je n’entends pas, je demande à Fatimata de répéter.
Didier : J’ai pas demandé la parole. Fatimata, si vous m’entendez. Mais si vous m’entendez c’est bien. Mais je n’ai pas demandé la parole.
Fatimata : D’accord. Donc c’est très bien. Il n’a pas demandé la parole. Donc Dave peut avoir la parole.
Interprète : Dave alors est en train de parler.
Pour Dave : Il dit : Ce que je demande, dit Dave, premièrement, c’est est-ce qu’on va faire quelque chose qui est similaire à ce qui s’est passé au Mexique? C’est-à-dire, je n’étais pas présent à la réunion du Mexique mais il paraît qu’il y avait des sponsors pour les ALS qui étaient sponsorisées pour voyager, pour préparer les programmes. Et je ne sais pas si c’était positif. C’est quelque chose que je ne sais pas très bien si c’est vrai ce qui s’est passé ou c’était pas tellement positif. Mais ce que je suggère c’est que qu’est-ce qu’on veut faire c’est que le programme outreach et élargir la capacité de ce qu’on a discuté au Mexique. Parce que c’était une faillite au Mexique, on ne veut pas que ça soit une autre faillite cette fois aussi, évidemment. Ici on a l’approche et on doit approcher nos sponsors pour ce qui concerne le voyage au Mexique. Est-ce qu’ils vont sponsoriser encore si ce n’était pas une – c’est pas réussi. Mais moi je n’étais pas présent au Mexique, alors je ne sais pas s’il y avait un programme d’élargir la capacité. Mais c’est quelque chose que, dit Dave, en parlant avec certains des participants, j’ai eu ces réactions. Alors c’est ça que je vous demande. C’est tout ce que j’avais – c’est fini. C’est ça que je voulais dire. Merci.
Tijani : Tijani.
Interprète : Okay. D’accord.
Tijani : Tijani.
Fatimata : Oui Tijani?
Tijani : Mais, Dave, j’ai bien compris que tu parles de faillite de Mexico. Mais (inaudible) faillite. Et puis en plus...
Fatimata : C’était un grand succès. C’était un grand succès Mexico.
Tijani : C’était un grand succès, au contraire. Mais à Mexico, tout le monde a été financé par ICANN. Aucun sponsor n’a été cherché, hein? Voilà.
Fatimata : Oui, c’est ça.
Yaovi : Yaovi.
Tijani : Yaovi a demandé la parole Fatimata.
Fatimata : Oui, Yaovi?
Yaovi : Okay. Merci. Je crois que c’est une discussion intéressante. Je remercie le comité. Mais je pense que, comme tout le monde le dit, il y a beaucoup de travail à faire. Mon premier point c’est que pour faciliter le travail au comité, je souhaiterais que, demain, tous les ALS disent au comité leurs possibilités de financement, comme ça, ça va faciliter au comité la réduction du budget. Puisse le budget être moins volumineux, on aura des sponsors. Donc il nous appartient, à chaque ALS, d’informer ce comité si, dans notre pays ou bien au niveau de notre ALS nous avons un budget ou nous avons prévu quelque chose pour participation. Donc c’est très important, il faut qu’on donne ces informations au comité.
Ensuite pour le comité, ma question c’est que, quand j’ai lu le document de Tijani, qui est très, très intéressant, il y a beaucoup, beaucoup de travail à faire, comme les salles, etc., les arrangements. Donc je voudrais vraiment que, sur ce plan aussi, vous fonciez beaucoup dans le travail pour que, en-dehors du financement même, que les contacts pour avoir les salles et ceux qui vont participer, animer les sessions, que tout cela soit fait. Juste pour vous dire qu’il y a encore beaucoup de travail et je vous souhaite vraiment une bonne chance. Merci.
Fatimata : Merci beaucoup Yaovi. Pour ce qui est des salles, nous en avions déjà discuté la dernière fois. Et le staff s’en occupe. Donc ça, il y aura moins de difficultés. Actuellement, comme l’a dit Tijani, le vrai problème c’est le sponsoring. Et également, évidemment, il y aura des problèmes d’organisation surtout par rapport – nous avons parlé d’expositions que nous voudrons faire. Donc il y aura un problème d’organisation, c’est sûr. Mais actuellement le problème le plus crucial c’est le financement.
Yaovi : Bon.
Fatimata : Oui.
Tijani : Tout à fait. Tout à fait.
Fatimata : Et Dave, là je renforce la réponse donnée par Tijani pour te rassurer. Mexico ça a été une très grande réussite, vraiment, en matière de participation des ALS. C’était une très grande réussite.
Tijani : Fatimata, peut-être qu’on peut passer à un autre point, parce que là on a été déjà...
Interprète : Qui parle?
Tijani : Tijani.
Interprète : Merci.
Fatimata : Je voudrais profiter de la présence... Bonjour Cheryl. Il y a Cheryl qui nous a rejoint. Je voudrais profiter de sa présence pour re-poser le problème de Baudouin pour qu’on avance dans ce sens-là, parce qu’au moins on aura un ALS qui aura trouvé un financement pour commencer.
Cheryl, Beaudouin demande si on peut lui faire une lettre officielle (inaudible) pour demander qu’il soit appuyé pour participer et qu’il pourra – une lettre qui serait adressée à son pays. Ma réponse a été de dire que, si on pouvait dire oui, il allait nous drafter la lettre pour qu’on puisse voir comment le faire. Enfin pour qu’on puisse juste l’endosser et lui envoyer la lettre. Nous on ne serait peut-être pas en mesure d’écrire dans les termes qu’il voudrait qu’on s’adresse à son pays. Cheryl, est-ce que tu es (inaudible)?
Matthias : Fatimata, je pense que Cheryl n’est pas encore sur cet appel. Elle est sur Skype et...
Fatimata : Elle est sur Skype seulement?
Interprète : Dave veut répondre, s’il vous plaît.
Fatimata : Oui. On avait – Tricia, on était en train de parler. On a fini maintenant. Dave?
Interprète : Dave, oui. Dave. Go ahead Dave.
Pour Dave : Dave dit : Pour ce que j’ai dit avant, la participation de la réunion au Mexique c’était un succès, d’accord. On a eu beaucoup d’ALS d’Afrique qui étaient là. Mais je pense que ce qui est important, dès que les sponsors sont en train de financer le voyage des ALS, il faut savoir le résultat. C’est bien qu’on participe dans les réunions mais on doit avoir des suivis après ce qui se passe. Quand les ALS reviennent à leur pays, il faut avoir ce suivi. Ça c’est la chose, la partie la plus importante parce que les sponsors n’ont pas la réaction, le feedback. Peut-être ils ont fait du bon travail (inaudible) en rentrant. Mais c’est important qu’ils doivent préparer le document pour envoyer aux sponsors. On doit mentionner qu’ils auront le suivi des activités des ALS dans leurs pays respectifs.
Fatimata : Voilà.
Interprète : Pour Dave : Et aussi dans le programme d’accroître la capacité. Okay?
Thank you Dave.
Fatimata : Oui. Merci Dave. C’est pour ça que nous sommes en train d’écrire, justement, un document de projet dans lequel on va mettre, justement, les résultats attendus. Parce que c’est vrai que quand on demande à quelqu’un d’appuyer une activité, il va falloir qu’on lui dise, qu’on lui explique pourquoi – ce qu’on va faire. Est-ce qu’il va tributer – il aura sponsorisé (inaudible) juste après les workshops ou bien est-ce qu’il y aura d’autres activités de suivi? Est-ce qu’il y aura des résultats dans le long terme, dans le moyen terme, etc.? Donc c’est pour cela que nous sommes en train de travailler, justement, sur un document qu’on va partager et tout le monde va mettre son input. Donc je pense que, comme a dit Tijani, peut-être que d’ici la fin – d’ici ce week-end on aura un document que nous allons partager. Et puis ce document-là devra être finalisé et envoyé dès la semaine prochaine.
Tijani : Très bien. Fatimata, Tijani. Est-ce qu’on peut aller à un autre point?
Fatimata : Oui. Non, juste qu’il y avait une autre question. Parce que Theresa est là et je pense qu’il faudrait qu’on l’écoute.
Tijani : D’accord.
Fatimata : Nous devrions donc discuter du document de strategic plan 2010-2013. Matthias?
Matthias : Oui?
Fatimata : Bon. On va peut-être juste... Comment ça se passe?
Matthias : Alors si vous êtes sur le Adobe Connect, vous allez voir que sa présentation c’est en fait le plan stratégique. Et normalement Theresa va nous donner une petite présentation et après on va lui poser des questions. Et on (inaudible) une discussion sur le plan stratégique.
Fatimata : Oui.
Matthias : Alors si vous allez sur Adobe Connect, vous allez voir le plan stratégique. C’est aussi sur (inaudible) dans l’agenda. Et je pense qu’on puisse donner la parole à Theresa comme ça elle peut nous donner une présentation là-dessus.
Fatimata : Okay. Donc alors nous pouvons commencer avec Theresa.
Interprète : C’est avec qui?
Tijani : Theresa.
Fatimata : Avec Theresa.
Interprète : D’accord.
Fatimata : Qui va donc faire la présentation. Mais on joue ça nous-même ou bien on le regarde ensemble?
Tijani : (Inaudible) que je rentre mon...
Interprète : Theresa est en train de parler.
Pour Theresa : Je vous remercie maintenant, dit Theresa, et l’opportunité de joindre. Je regrette que j’étais en retard. J’étais à l’aéroport avec mon frère, mais je suis maintenant.
Ce que je voulais dire c’est dans le contexte du plan stratégique. Et puis si vous avez des questions à poser, c’est bien, et comment je peux vous aider pour clarifier la période. Pour les remarques publiques, je pense que c’est le 21 janvier. Alors je voudrais bien avoir vos réactions et vos remarques sur les questions qui sont importantes aux régions et pour des personnes qui sont sur l’appel. Et comme vous savez peut-être, nous avons une approche un peu différente pour le plan stratégique, le processus de ce qu’on avait fait dans le passé. Et pour ce qui concerne ce qu’on veut faire, c’est de solidifier quatre domaines de concentration et des sous-catégories de travail qu’on doit faire, et vous allez voir, quand je fais la présentation des diapositives, la première diapositive, il y a – c’est une déclaration plutôt générale de ce qu’ICANN est en train de faire. Et puis on peut faire des remarques sur cette déclaration plus élaborées. Mais c’est en contexte de ce qui est le but et les responsabilités d’ICANN en terminologies qui sont peut-être plus de haut niveau et pour un public plus élargi plutôt que la communauté plus nuancée.
Et puis la prochaine diapositive, on va y aller maintenant, c’est vraiment, on cherche avec cela d’informer dans une page seulement les domaines de haut niveau de ce qui est un plan stratégique avec des pages suivantes. Et on voudrait avoir des remarques, des commentaires sur si les quatre points de concentration ont été bien faits, et puis au-dessous de ça, vous allez voir que c’est divisé en ce qui sont les objectifs stratégiques, de manière que l’intention avec ça c’est de savoir qu’est-ce que ça veut dire de préserver la sécurité, quelle est la manière idéale qu’il y a moins d’abus IDS. Est-ce qu’on a besoin de plus de sécurité comme opération. Il faut chercher de définir quels sont les objectifs stratégiques. La raison qu’ils sont en parenthèses c’est que c’était pas un domaine, un secteur qu’on avait bien regardé quand on a fait la présentation à Séoul. Et donc c’est un langage qui, peut-être, n’était pas dans les présentations en passé des stratégies.
Mais alors on veut avoir vos réactions des gens pour avoir un système Internet sain. Est-ce que ça veut dire qu’il faut avoir l’Internet global?
Alors, je m’excuse, je promets de le faire en français la prochaine fois, dit Theresa.
Le deuxième secteur que vous voyez, la barre, identifier certains des travaux de communauté. Il y a beaucoup de travail de la communauté qu’on est en train de faire sur des sujets différents qui est dans ces quatre groupes. Et dans cette catégorie vous allez aussi voir les terminologies, le langage qui fait référence au plan stratégique du passé, qui réfléchit le travail de toutes les SO et les AC (ph) de l’organisation.
Donc la prochaine ligne, ce sont des projets stratégiques. Et ça se sont des choses, par exemple, où il y a des secteurs spécifiques qui – des projets, pas des travaux en continuation mais les implémentations des idées. On a fait beaucoup de travaux de communauté sur les EDN et puis en-dessous de ça c’est l’implémentation. Par exemple, il y a des idées de comme il y a ces plans stratégiques avec ces quatre secteurs, avec du langage qu’on n’a peut-être pas toujours vu en contexte du plan stratégique.
Et puis finalement, la barre finale, ce sont les travaux de la direction. Ce sont des travaux d’opération en continuation; le financement, le soutien, les différents services de soutien qui existent, le travail de renforcer l’engagement régional et international. Les choses normales qui font partie des tâches normales de l’organisation. Et en – avec le langage qu’on a déjà vu dans les plans stratégiques. Ici vous allez voir une barre en fond, au fond où il y a, par exemple, les participants, stakeholders, la transparence internationale. Et en regardant le dernier plan stratégique (inaudible) on met comme objectif pour l’organisation d’assurer s’il y a beaucoup de participation, stakeholders.
Mais ce sont des choses qui sont importantes pour toute l’organisation et pour tout le travail de l’organisation. Alors donc elles ont été identifiées avec une barre qui peut réfléchir tous les différents secteurs du travail ICANN dans ces quatre secteurs.
Alors de nouveau, cette page cherche à capturer le panorama de tous les éléments dans le plan stratégique. Et les autres pages après en suivant, les quatre domaines de concentration, des points qui sont plus élaborés, plus détaillés en identifiant spécifiquement les objectifs et les projets particuliers. Et la raison qu’on envoie ça c’est de tenir le plan stratégique au haut niveau. Les détails du travail en continuation de la direction du staff sont réfléchis dans le processus opérationnel et de budget. Le plan stratégique cherche à identifier quels sont les secteurs spécifiques pour le futur, le panorama, et si on est d’accord sur ces plans de plus haut niveau.
Et vous allez voir les pages suivantes après ça, on regarde un peu, par exemple, les quatre secteurs que j’avais soulignés sur la première page en élaborant sur ça. Et vous allez voir que beaucoup du langage est similaire de ce qu’on avait déjà présenté dans le passé dans les plans stratégiques; quel est le système, le écosystème plus sain?
Ça c’est un panorama. Et je suis contente de répondre à vos questions. Et je vous encourage. Je soutiens beaucoup d’avoir des réactions, des remarques et vos commentaires, vos remarques sur les questions, surtout où les participants croient qu’ils sont très importants pour leur région individuelle, et de manière comment on peut s’assurer qu’on peut avoir une synthèse dans le commentaire public pour ajouter, aider, assister avec le document.
Alors avec ça, je suis prête à répondre à vos questions.
Interprète : Who... Dave? Dave? Dave? Okay. Go ahead Dave. Alors Dave est en train de parler.
Pour Dave : Merci Theresa pour cette présentation, dit Dave. Je me rappelle, quand on était à – dans la dernière réunion ICANN, le CEO d’ICANN faisait la présentation et il y avait des questions...
Interprète : I am sorry... I am sorry, two people spoke at once. Could one person (inaudible)? Got it, Got it. Thanks.
Pour Dave (?) : Alors la question de séparation digitale. Ça c’est une préoccupation pour les régions africaines. Les questions digitales. On doit avoir l’assistance d’ICANN, ce qu’ICANN fait pour composer, pour chercher d’améliorer la division digitale. Et... Serve (ph) Monti (ph) doit chercher d’avoir la liste des priorités qu’ICANN doit faire pour commencer. Et je me rappelle que j’ai pris le sondage avec mes amis des régions africaines, on a fait ce sondage. Et dans ce sondage, c’était pour chercher, savoir les priorités d’ICANN, ce qu’on devait faire. Alors est-ce qu’on peut avoir le résultat de ce sondage, ce que j’avais demandé?
Pour Theresa : Oui, dit Theresa. Oui. On a fait le sondage. Et on a – quand on a fait ce sondage, qui était terminé, je pense que c’était le 4 ou à la fin de décembre, le commencement de janvier, ça ne veut pas dire que les gens ne doivent pas sentir qu’ils doivent contribuer. Ils doivent contribuer, oui. Mais je n’ai pas encore la synthèse ou le sommaire des résultats. Mais je veux noter, dit Theresa, que le sondage qu’on n’avait pas fait dans le passé pour les plans stratégiques, c’était une manière d’avoir les réactions et vos remarques. C’était seulement une des possibilités de ce que les gens pensent qui sont les priorités qui sont émises de manière régulière.
Mais pour ce qui concerne la division digitale , comme vous le savez, il y a beaucoup d’opinions différentes de ce que le rôle d’ICANN doit être. Et je veux vous encourager, dit Theresa, quelles sont les possibilités d’ICANN, quelles sont les choses qu’ICANN fait qui contribuent, qui sont une contribution à l’écart digital? Et en lumière de ça, par exemple je vais vous donner un exemple, c’est pas une décision ça, c’est seulement une idée. Par exemple : Contribuer dans le système Internet, l’écosystème Internet. Un des objectifs stratégiques que tous les participants ont une voix à la table. Alors moi je pense personnellement, il faut s’assurer que tous les participants, les stakeholders de tout le monde ont une voix à la table. Ça, ça peut aider à contribuer à éliminer l’écart digital, encourager la participation et avoir les ccTLD, le training, la formation pour la sécurité et la stabilité.
Alors moi j’encourage qu’en contexte d’adresser tout ça, des questions qui sont importantes pour les régions en développement, et je sais que c’est aussi très important pour les régions africaines, si on peut avoir les remarques sur les mandats ICANN et les secteurs ICANN qui peuvent aider à créer d’autres (inaudible) dans l’écart digital, et aussi du point de vue pénal
. Et qu’est-ce que peut faire ICANN pour aider à éliminer cet écart? Est-ce que c’est une clarification?
Pour Dave : Oui, merci bien, dit Dave.
Pour Theresa : Je pense aussi, dit Theresa, je pense que c’est très important ce secteur..
Interprète : Which area? Sorry. Which area?
Pour Theresa : Le secteur de s’assurer du point de vue global que tous les participants ont la possibilité d’être engagés dans le travail d’ICANN, dans la mission. C’est très important d’avoir cette participation globale pour identifier quels sont les secteurs plus importants pour aider à améliorer la situation dans les différentes régions pour éliminer l’écart digital. Je pense que ça, ça va aider.
Interprète : Thank you. I’ll ask for their response. Votre réponse?
Pour Dave : Merci, dit Dave.
Interprète : Alors il y a des questions de votre côté Fatimata?
Tijani : Fatimata is off now. Elle a été interrompue.
Interprète : Ah, okay.
Tijani : J’aurais une question.
Interprète : Est-ce que c’est Tijani?
Tijani : C’est Tijani.
Interprète : Okay. Allez. Parlez Tijani.
Tijani : J’ai une question. Oui. Bon, je remercie donc Theresa de cet exposé. Bien sûr, j’apprécie beaucoup ce travail. Je trouve que le plan stratégique cette fois-ci est beaucoup plus, disons beaucoup plus réfléchi et mieux présenté surtout. Mais la question – mais Dave avait posé une question concernant la réduction de la fracture numérique.
Interprète : Qu’est-ce que vous avez dit? La quoi? Quelle est la question?
Tijani : La réduction – divide reduction or alliviation, if you want.
Interprète : J’ai compris. Continuez.
Tijani : Voilà. Donc il a posé la question concernant, donc, la réduction du fossé numérique. Et bien j’ai une question à poser à Theresa : Est-ce que, en exigeant des frais de dossier de 185 000 dollars pour les nouveaux gTLD, est-ce que ceci peut contribuer à faire – à réduire le fracture numérique? Est-ce que cela n’a pas comme effet de n’avoir de nouveaux gTLD que de chez les riches? Les pauvres n’auront pas la possibilité, donc, d’avoir un nouveau gTLD. Puisque déjà les frais de dossier, les premiers frais de dossier s’élèvent à 185 000 dollars.
Interprète : Attendez. Vous n’avez pas – est-ce que vous pouvez répéter un peu plus clairement la dernière partie? Merci.
Tijani : Alors j’ai dit : Est-ce que – est-ce que ça ne serait pas une manière d’éliminer les pauvres ou les gens qui n’ont pas les moyens de payer 185 000 dollars comme premiers frais de dossier, premiers frais de dossier de candidature pour un nouveau gTLD? Pour un nouveau domaine générique de premier niveau?
Interprète : Elle veut que je – si vous pouvez répéter la question. Elle n’a pas bien compris, de manière claire. Merci.
Tijani : Tu veux que je le fasse en anglais?
Interprète : Tu peux essayer.
Tijani : Oui. Alors do you think that...
Interprète : Do you think...
Tijani : C’est mon temps là. Non?
Interprète : Juste dis-le le plus clairement possible.
Tijani : Oui. Do you think that the fees for the... Est-ce qu’elle ne pense pas que les frais de dossier, de dépôt de dossier de candidature pour un nouveau domaine de premier niveau ne sont pas de nature à, disons, à éliminer les pauvres qui ne peuvent pas payer les 185 000 dollars qui sont les premiers frais de dossier? Est-ce que c’est clair?
Interprète : Pour Theresa : J’ai compris. J’ai compris, elle dit. Oui.
Tijani : Elle a compris.
Interprète : Elle vous répond.
Tijani : Oui.
Interprète : Pour Theresa : La question des coûts...
Interprète : Sorry, I... Sorry. My mistake. It’s mute now Okay. Okay.
Pour Theresa : La question – les nouveaux coûts d’application des nouveaux TLD, c’est calculé du point de vue du recouvrement des coûts. Et ça c’est déjà sur le site, et je peux travailler avec Matthias. C’est sur le site Internet pour l’envoyer. Si c’est une question est-ce que ça va aider en Afrique ou non, je pense qu’on doit regarder que c’est un recouvrement des coûts comme opération dans le budget dans les plans stratégiques. C’est un budget qui a déjà eu le processus de consultation publique et c’est là où c’est essentiel d’avoir la réaction pendant le processus, de ne pas regarder les domaines spécifiques qui sont déjà dans le (inaudible) application TLD, mais plutôt qu’est-ce qu’ICANN peut faire dans tous ces différents secteurs du projet, de s’assurer que ça répond au besoin de toutes les communautés. Celui des TLD est très spécifique, très précis. Si on veut avoir des remarques sur le facteur TLD, ces remarques doivent être mises là avec des recommandations ou des suggestions de ce qu’on peut faire hors du contexte du plan stratégique, de se concentrer, de ce qu’on peut faire dans ce secteur, ce qu’ICANN peut faire. Et les idées des TLD, c’est là qu’on doit avoir la participation dans le processus. Vous avez compris?
Tijani : Oui, j’ai compris. Ce point de vue a été exprimé pendant les commentaires publics et, malheureusement, il n’a pas été pris en compte. Et donc c’est pour ça que je – c’est pas une question que je pose, c’est une remarque que je fais.
Elle a dit : « Que peut faire ICANN? » Je pense qu’ICANN aurait pu faire un effort pour aider les pays en développement, si vous voulez les postulants, les applicants, les candidats des pays en développement en réduisant les coûts pour ces gens-là. C’est tout. C’était ça ma remarque. Mais je sais que c’est déjà fait maintenant le – l’Applicant Guidebook est déjà publié. Et je ne pense pas que ça va être – les coûts vont être touchés.
Interprète : J’ai pas entendu le dernier point que vous avez dit. Le petit dernier.
Tijani : Oui. J’ai dit que je sais que le – la dernière version de l’Applicant Guidebook, en anglais, ou, si vous voulez, le manuel de candidat, a été publié et je sais que les coûts ne seront pas touchés. On gardera ces coûts-là. C’était pas une question, c’était pas une suggestion mais c’était une remarque. C’est tout.
Interprète : Pour Theresa : Merci bien. Je vais faire note de cette remarque et j’apprécie votre réaction. Et donc...
Interprète : So who is on now?
Participant non-identifié : Pardon. J’ai pas entendu.
Interprète : Okay. Go ahead Cheryl. Yaovi. Oh, Yaovi. Okay. Go ahead. Yaovi, vous aviez une question? Vous aviez une question, Yaovi?
Tijani : Yaovi, est-ce que tu es là? Yaovi? Apparemment il n’est plus là.
Interprète : Y a-t-il quelqu’un du côté français qui veut parler?
Baudouin : Baudouin. C’est Baudouin qui est ligne. Je suis toujours en ligne, Baudouin.
Interprète : D’accord.
Tijani : Vas-y Baudouin.
Baudouin : La dernière remarque (inaudible).
Interprète : Baudouin, vous êtes en train de – vous êtes coupé chaque autre mot. Alors je ne vous entends pas bien. Si vous – peut-être quelqu’un d’autre veut parler. Parce que c’est très coupé.
Tijani : Est-ce que tu peux répéter, Baudouin, doucement? Est-ce que tu peux répéter doucement s’il te plaît?
Baudouin : Oui. Je dis ceci : la dernière remarque que vient de faire Tijani est une remarque très pertinente. Cette préoccupation nous l’avons ici également chez nous où nous avons beaucoup de personnes qui ont peur de s’engager compte tenu du coût.
Fatimata : Exactement.
Tijani : Ah, Fatimata. Bienvenue.
Fatimata : Oui, je suis là. Je suis de retour. (Inaudible).
Tijani : Bon retour. C’est très bien ça. Cheryl est là aussi, hein?
Fatimata : Parfait.
Tijani : Elle est en ligne.
Fatimata : Oui. Et je pense que – je suis en train un peu de penser un peu comme Baudouin. Tijani, je pense aussi pourquoi tu dis que ça ne va pas affecter la fracture...
Tijani : Je vais te dire... Non, ça va affecter d’une manière très profonde (inaudible).
Fatimata : (Inaudible). D’accord.
Tijani : J’ai dit – j’ai dit que je suis certain que les coûts ne seront pas touchés et que le – l’Applicant Guidebook ne va pas être touché du côté coût. Parce que pendant la première période de commentaire, la deuxième, la troisième on a toujours répété la même remarque et ça n’a jamais été pris en considération parce que, soi-disant, c’est une question de recouvrement des coûts engagés.
Fatimata : Oui.
Tijani : (Inaudible). Voilà
Fatimata : Donc je pense que ça (inaudible) même si ça ne change rien. On va mettre ce point-là, on va l’appuyer et dire ce nous pensons. Ceci contribue, comme je viens de dire, parce que c’est une question du point de vue des ressources. On ne peut pas acquérir si on n’a pas les moyens de l’acquérir.
Tijani : Tout à fait.
Fatimata : Et c’est une division par rapport aux structures qui évoluent dans le domaine de l’Internet dans nos pays qui n’ont pas les mêmes capacités financières que les structures du nord. Ça c’est... C’est évident. Sinon on va être encore des sous-traitants.
Tijani : Que veux-tu?
Fatimata : (Inaudible) du nord. Et je ne pense pas qu’ICANN doivent (inaudible).
Tijani : Enfin, Theresa est en train d’écouter. J’espère que...
Fatimata : Est-ce que Theresa est toujours là?
Tijani : Tricia?
Interprète : Je suis toujours là. Je viens d’interpréter pour les anglais.
Fatimata : Non, non. Je veux dire : Theresa elle est toujours là dans ce (inaudible)?
Interprète : Qui est toujours là? Theresa. Oh.
Fatimata : Oui. Bon apparemment (inaudible).
Yaovi : Yaovi.
Tijani : Yaovi est de retour. C’est bien.
Interprète : Oui. Je pense qu’on a perdu le côté anglais. Je viens de le dire au technicien ici. Alors on cherche de remettre.
Tijani : Yaovi veut parler, Fatimata.
Fatimata : Oui, Yaovi? J’étais en train de (inaudible).
Yaovi : Oui. J’avais perdu aussi la connexion. Mais j’ai compris que le débat était autour de la fracture numérique. Pour moi, aujourd’hui la barre et beaucoup plus (inaudible) comme ALS parce quand l’Internet avait commencé en Afrique en 94, 95, je faisais partie d’un (inaudible) où on appuyé les premières connexions. Mais aujourd’hui je crois que nous, en tant qu’ALS, on doit chercher les moyens pour influencer les décideurs au niveau de nos pays. Parce que je crois qu’aujourd’hui nous avons quand même le minimum peut-être financier. Mais...
Interprète : Je vous entends pas du tout très bien. Mais il y a le côté... Bon, je... Enfin. Sorry, I – they were speaking. So let me interrupt so that you can speak.
Si vous voulez bien attendre un instant, le côté anglais voudrait parler. Merci.
Tijani : Non. Mais il est était en train de parler là.
Fatimata : Yaovi.
Yaovi : Oui. Donc je disais qu’il faut que les, entre nos ALS, qu’on se parle (inaudible)...
Interprète : Okay. Hold on a second. Let me just do him.
Yaovi : ...Pour que nous puissions quand même influencer les décisions dans nos pays. Et c’est (inaudible)...
Interprète : Qui est-ce qui parle maintenant s’il vous plaît? Est-ce que vous pouvez donne votre nom? Je ne vous entends pas.
Tijani : Yaovi. Yaovi.
Interprètes : Okay. Yaovi, s’il vous plaît, parlez clairement. Okay, Yaovi...
Yaovi : Donc c’est la ligne qui ne marche pas. Alors (inaudible). J’ai vais envoyer... Allô? Vous me recevez?
Fatimata : Oui, très...
Interprète : Continuez s’il vous plaît.
Yaovi : D’accord. Je disais qu’entre ALS on va s’échanger des stratégies à mettre en œuvre pour cette question de fracture numérique. Les actions qu’on fait, que nous aussi on peut faire en-dehors des questions financières. Je veux conclure que la volonté politique est beaucoup importante, et nous avons aussi des actions à faire pour influencer un peu nos décideurs. Merci.
Fatimata : Oui. Merci Yaovi. Mais là en fait nous sommes en train de parler de la politique internationale.
Tijani : (Inaudible).
Fatimata : Bien sûr c’est au (inaudible) national qu’on essaye d’influencer l’international. Mais là c’est la politique mondiale. C’est pas quelque chose que nous pouvons faire à notre niveau local. C’est pour cela qu’ici, en tant qu’ALS, nous devons avoir une position forte et commune pour faire des propositions au niveau d’ICANN. En fait, l’effort, par exemple, d’attribution des applications gTLD, c’est décidé au niveau d’ICANN. C’est pas décidé au niveau de notre pays. C’est de ça que nous sommes en train de discuter.
Tijani : Tijani peut parler?
Fatimata : Oui Tijani.
Tijani : C’était une réponse à une question de Theresa : « Que peut faire ICANN pour réduire la facture numérique? » Et donc la réponse c’était... Ce qu’on avait dit c’était en réponse à cette question.
Fatimata : Voilà. Okay. Tricia, je pense que Mohammed a posé une question ou Theresa (inaudible). Elle dit qu’elle est en train de répondre à une question de Mohammed. Nous on ne suit pas. On ne l’entend plus Theresa.
Tijani : Mohammed is disconnected.
Fatimata : Yes. Okay. Est-ce qu’il y a....
Interprète : (Inaudible) du côté anglais s’il vous plaît. Is this Theresa? Okay. Theresa est en train de répondre.
Pour Theresa : Elle répond : Je pense que l’observation de l’engagement de outreach, d’élargir avec les régions de participation, c’est un secteur très important d’avoir les réactions, les remarques pour ce programme des plans stratégiques, de manière qu’on continue d’être un travail important pour la direction, le staff, mais aussi pour le travail de la communauté. De travailler ensemble pour identifier des autres secteurs où on peut améliorer avec plus d’intention. Alors si on regarde ce qu’on faisait il y a 10 ans, c’était bien différent d’où sont les choses maintenant. Mais il y a une opportunité de continuer à construire et améliorer dans les régions, évidemment. Alors ce que je veux dire, dit Theresa, c’est, dans le contexte du plan stratégique et les secteurs plus importants, je vous encourage. L’importance de ça est réitérée dans les remarques. Et c’est important que ça soit clair. C’est comme ça que l’organisation peut s’assurer qu’elle écoute ces points de vue et que la direction et le staff savent que c’est très important d’avoir aussi le renforcement de leur communiquer avec des idées qu’ils peuvent ajouter pour améliorer ce qu’on est en train de faire maintenant, évidemment.
Interprète : Et maintenant... Mohammed est en train de parler.
Pour Mohammed : Je voudrais seulement faire une remarque très vite. Pour ce qui concerne les secteurs où on veut concentrer, ce sera très bien que le staff, les projets de la direction peuvent être développés avec les régions, avec ALAC ou at large en général. Parce qu’on sait, parce que dans nos régions nous savons quels sont les meilleurs outils d’utiliser dans nos régions particulières. Et comment on peut faire le outreach avec tout ça? Dit Mohammed.
Interprète : Hold on. Somebody would like to speak. Thank you. Qui parle? Allô? Qui parle s’il vous plaît?
Fatimata : Je ne sais pas qui parle.
Interprète : Moi non plus. Je ne les entends pas.
Fatimata : Oui.
Interprète : Okay. Go ahead. Cheryl. Cheryl est en train de parler.
Pour Cheryl : Elle veut réitérer encore avec plus d’insistance que c’est important, c’est essentiel d’avoir les remarques locales, les connaissances locales, les désirs locaux des pays en développement, les communautés en développement pour ce qui concerne les buts d’ICANN comme stratégie. Pas seulement dans les réunions comme ça mais aussi directement des ALS et des régions ICANN, aux remarques publiques et aussi dans les déclarations d’ALAC. Et moi je prends cette opportunité, dit Cheryl, de vous demander à vous tous d’avoir un outreach, d’avoir les réactions de tous vos membres, de manière que vous pouvez ramener ces remarques à nous et les mettre aussi sur le Doodle dans le Skype Chat, de manière que vous pouvez assurer que ces remarques sont là et qu’elles peuvent être utiles.
Interprète : Thank you Cheryl. Alors maintenant une réaction? Quelqu’un veut parler du côté français?
Tijani : Fatimata, tu pourrais peut-être poser la question.
Fatimata : Oui. Mais (inaudible). Tu veux parler Tijani?
Tijani : Non. Je veux que tu poses la question à Cheryl concernant la question de Baudouin.
Fatimata : Ah oui, concernant Baudouin.
Interprète : Continuez.
Fatimata : Est-ce qu’il n’y pas d’autres questions par rapport à Theresa? Donc la – on la libère, c’est ça? Est-ce qu’il y a d’autres questions ou nous avons juste (inaudible) à l’appel, à la conférence sur le document de strategic planning, le plan stratégique.
Tijani : Oui. Alors si personne ne veut parler, moi je vais parler.
Fatimata : Oui. Vas-y.
Tijani : Alors Tijani parle. Je veux demander à tous les membres d’AFRALO de participer activement à la prochaine téléconférence concernant le plan stratégique. Je pense que la participation et l’expression du point de vue concernant le plan stratégique est très importante parce que ça va influencer le budget, ça va influencer le plan, (inaudible) comment on appelle ça? Le plan de travail en quelque sorte. Donc il est très important. Mais il ne faudra pas aller à cette téléconférence comme cela, comme si on n’a jamais posé la question. Il faut se préparer. Et sur le site d’Internet d’ICANN il y a tout ce qu’il faut concernant ce plan stratégique. Et on peut aussi voir le plan stratégique de la dernière fois, on peut comparer. Il faut penser aux besoins qui sont les nôtres et comment on peut les inclure dans ce plan stratégique. Nous avons grandement besoin d’exprimer nos besoins. Nous ne l’avons pas fait jusque-là. C’est pour cela qu’aujourd’hui nous sommes en train de chercher à trouver un (inaudible) financement pour pouvoir faire ce capacity building program.
Donc si tout le monde décide de lire d’une manière profonde ce plan stratégique et essayer de comprendre et essayer de trouver là où on peut avoir des besoins en tant qu’Africains, en tant qu’ALS de l’Afrique, et bien je crois que votre participation à la prochaine téléconférence serait très utile.
Fatimata : Je crois que, Tijani, c’est une très belle proposition. Et quand tu dis : « Il faut nous nous préparer, » je me demande si, aujourd’hui, parmi nous qui sommes là. il y a déjà un groupe qui travaille sur le programme outreach et que (inaudible) avoir encore deux ou trois personnes qui ne sont pas des membres du groupe outreach qui (inaudible) en commençant par le débat que nous avons eu aujourd’hui, les (inaudible) que nous avons (inaudible) aujourd’hui (inaudible). On va travailler en ligne déjà pour préparer la conférence du 14 ou 15 janvier.
Yaovi : Yaovi.
Fatimata : Oui, Yaovi?
Yaovi : Alors je veux parler dans le même sens mais je voudrais insister beaucoup plus sur les volontaires. Et ma proposition c’est que nous continuons, nous encourageons nos échanges par emails, disons, dès demain et jusqu’au 13 sur ce plan stratégique. Parce que si nous formons un groupe et puis les gens ne sont pas disponibles, on n’aura pas résultat. Je remercie beaucoup ceux qui consacrent leur temps. Et donc ma proposition c’est que nous continuions la discussion par emails. Mais il faut que les gens aient lu le document, il faut que les gens aient des idées. Ceux qui ont lu, ceux qui ont les idées, ils envoient et les recommandent. Donc c’est la contribution que je voulais faire.
J’en profite pour glisser (inaudible) participation à Nairobi, que ce soit des gens qui soient des soient disponibles. Parce qu’il ne sert à rien que nous venons à ces réunions si nous n’avons pas le temps après pour lire, pour participer. Donc c’est ma contribution. Merci.
Fatimata : Merci Yaovi. Par rapport à la proposition que je viens de faire, j’aimerais bien entendre les autres, ce qu’ils en pensent. Est-ce qu’il y a une autre proposition? (Inaudible). C’est moi ou (inaudible).
Tijani : Bon. Je... Je peux parler Fatimata?
Fatimata : Oui Tijani. Vas-y.
Tijani : Bien. Déjà il y a un email, je crois que c’est stratplan@icann.org (ph) qu’on peut utiliser pour envoyer ses commentaires. On peut le faire à titre individuel déjà. Mais ce que Fatimata cherche à avoir c’est une position africaine, c’est une position des ALS africaines. Est-ce qu’il y a quelqu’un qui peut coordonner ça? En utilisant les emails, bien sûr, comme a dit Yaovi. Parce qu’on n’a pas le temps d’attendre des rapports, etc. On va utiliser les emails. Mais il faudrait que quelqu’un coordonne ça, il faudrait que quelqu’un compile les propositions pour que, le jour de la téléconférence, bon, on parlera... Bon. On ne va pas parler comme un blog mais au moins il y aurait déjà une position africaine à propos de ce plan stratégique.
Fatimata : Apparemment il n’y a pas de volontaire, personne ne veut le faire. C;’est ça? Et si (inaudible). Yaovi?
Yaovi : Oui. C’est pas le problème. Je dis que s’il y un volontaire, il faut que ce volontaire puisse avoir lu les documents ou (inaudible) le temps de lire. Moi je suis (inaudible) assez ces éléments. Et (inaudible)_vous pouvez nous lancer quelques emails pour qu’on en discute, disons, à partir de demain. Et puis d’ici (inaudible) nous aurons discuté, échangé un peu.
Interprète : Fatimata, est-ce que vous pouvez répéter ce qu’il a dit? On n’entend pas bien.
Fatimata : Oui. Jute, ce qu’il voulait, il veut dire qu’il n’aura pas le temps de faire le travail préparatoire pour être le lead, pour être l’animateur ou le modérateur. Est-ce qu’il y a quelqu’un d’autre? Il y a Michel...
Tijani : Est-ce que Didier est là?
Fatimata : Didier?
Tijani : Est-ce que Didier est là?
Fatimata : Didier? Bon.
Tijani : Apparemment il n’est pas là.
Fatimata : Didier n’est pas là.
Tijani : Michel.
Fatimata : Michel?
Michel : Oui Fatimata. Je n’aurai pas du temps matériel, compte tenu du délai...
Interprète : Dave dit qu’il est préparée à faire la coordination (inaudible). Est-ce que ça va?
Fatimata : Didier est là?
Interprète : Oui, Dave est là. Est-ce que vous voulez – il peut parler maintenant Dave?
Tijani : Oui.
Interprète : Okay. Dave, go ahead, speak.
Pour Dave : Dave dit : Moi je peux faire la coordination, dit Dave. Je peux faire rédiger la position africaine pour commencer sur le plan stratégique. Mais je demande à tous les membres, les participants de donner leurs réactions de manière, c’est pas tellement le point de vue d’une personne mais c’est le point de vue coordonné de toute la région.
Fatimata : Absolument. Merci d’aider, Dave. Merci beaucoup. C’est effectivement ce que nous cherchons, je pense. N’est-ce pas Tijani?
Tijani : Oui, c’est (inaudible). Et moi vraiment je veux remercier Dave parce qu’il est d’un grand apport à tous les niveaux.
Fatimata : Oui.
Tijani : Et réellement on a gagné...
Fatimata : Au niveau d’ALAC.
Tijani : Au niveau d’ALAC. Au niveau d’ALAC et au niveau d’AFRALO aussi.
Fatimata : Et AFRALO.
Tijani : Oui.
Fatimata : Oui. Merci donc. (Inaudible). Donc je pense que nous avons fini le point sur le plan stratégique. Il y avait une question qui avait été posée... Est-ce que, Theresa, vous restez toujours avec nous? Sinon nous pouvons la remercier vraiment d’être venue nous appuyer aujourd’hui. Merci pour votre disponibilité.
Interprète : À qui vous remerciez? À Theresa?
Tijani : Theresa.
Interprète : Okay. Okay.
Fatimata : Merci vraiment du AFRALO et à très bientôt.
Il y a une dernière question que nous voudrions adresser à Cheryl avant de continuer cette réunion.
Interprète : Voir quoi?
Fatimata : Il y a une question que nous aimerions adresser à Cheryl avant de passer à un next step et conclure la réunion. Cheryl, voudriez-vous faire une lettre.. Je pense que c’est une sorte d’invitation venant d’ALAC pour demander à ce que son organisation soit appuyée pour participer à la réunion de Nairobi? Est-ce que c’est faisable de la part d’ALAC?
Interprète : (Inaudible) Fatimata. Si vous pouviez répéter clairement la question, ils n’ont pas compris ce que vous demandez. Répétez s’il vous plaît.
Fatimata : Baudouin de la RDC, de la République Démocratique du Congo, voudrait, pour sponsoriser sa participation à la rencontre de Nairobi, voudrait qu’on lui envoie une lettre d’invitation à y participer peut-être en demandant la possibilité d’appuyer sa participation, donc de sponsoriser sa participation.
Interprète : De demander à qui d’appuyer?
Fatimata : Demander à son gouvernement d’appuyer la participation de sa structure à la réunion d’AFRALO à Nairobi. Parce qu’il dit qu’avec une lettre comme ça il peut trouver – son gouvernement pourrait le (inaudible), payer les frais pour lui. Je demande si on peut lui faire cette lettre-là au nom d’ALAC pour que ça rendrait un cachet plus officiel. Si la réponse était oui, ça serait bien.
Interprète : Pour Cheryl : Alors la réponse, oui, dit Cheryl. C’est oui. Matthias et moi on va travailler avec Heidi d’avoir une lettre pertinente préparée pour la sponsorisation africaine, de manière qu’on vous invite. On va travailler sur ça. Ça c’est la réponse plus facile. Et certainement on va le préparer.
Fatimata : Merci beaucoup. Et en même temps, je profite de (inaudible) pour dire que toutes les ALS qui ont espoir de pouvoir décrocher un financement pourraient déjà s’occuper de leur visas?
Interprète : Répétez, s’il vous plaît clairement. Merci.
Fatimata : Les ALS qui ont espoir de pouvoir décrocher un financement, de pouvoir se faire financer, est-ce que (inaudible) de faire déjà des démarches pour le visa? Puisque ça risque de prendre beaucoup plus de temps.
Tijani : Je peux compléter?
Fatimata : Oui Tijani.
Tijani : Oui. Moi je dirais, pourquoi pas toutes les ALS, même si elles n’ont pas d’espoir? Parce que si on trouve un financement pas la suite, ça sera ça de fait déjà.
Fatimata : Oui. Pourquoi pas?
Tijani : Oui. Si toutes les ALS demandent des visas pour l’entrée au Kenya, ça serait un step de fait. On ne serait pas (inaudible) par cette chose-là, si on trouve du financement.
Fatimata : Oui.
Tijani : Fatimata, (inaudible) dans ton coin. Je crois que tu as lancé l’addenda toi. Tu n’a pas la nouvelle.
Fatimata : Est-ce qu’il y a d’autres questions sur ce point-là? Sinon on passe au next step.
Tijani : Avant next step nous avons...
Interprète : Attendez un instant. Je demande aux anglais.
Tijani : Fatimata?
Interprète : Cheryl est en train de parler.
Pour Cheryl : Seulement je veux dire, je vais m’assurer qu’on a les lettres officielles qui sont pertinentes pour des utilisations générales, de manière si quelqu’un veut une lettre spécifique après qu’ils ont vu la lettre générale, on peut aussi préparer une lettre spécifique. Alors au commencement de la semaine prochaine, on aura la lettre générale d’invitation. Et si vous avez besoin d’une autre lettre en plus, plus spécifique, vous me le laissez savoir. D’accord?
Fatimata : D’accord. Il y a une lettre générale qui peut être adressée... Baudouin, est-ce que cette lettre générale suffirait?
Tijani : Il n’est pas encore prête Fatimata. Elle sera prête...
Fatimata : Je demande, si on fait la lettre générale, est-ce que ça suffirait pour Baudouin.
Interprète : Pour Cheryl : Je sais que la lettre à Baudouin sera spécifique et précise. Mais je vais faire aussi une autre à part celle de Baudouin, dit Cheryl, qui sera pour l’utilisation générale. Comme ça il y aura celle de Baudouin spécifique, précise, et puis celle générale pour chaque région. D’accord?
Fatimata : Très bien. Merci. Ça serait formidable. Et Tijani veut me rappeler qu’il avait (inaudible). Mais je pense que (inaudible), enfin la mise à jour quant au groupe de travail nous l’avons déjà faite.
Tijani : Oui, oui.
Fatimata : Maintenant il y a le point sur la réunion de Nairobi. Est-ce que nous allons tenir une autre réunion du mois de mars (inaudible) la réunion de Nairobi?
Tijani : Je pense que oui, personnellement.
Fatimata : Oui. (Inaudible) je pense.
Tijani : Voilà.
Fatimata : Ensuite il y a la mise à jour sur la représentation régionale. Je pense que Hawa ne nous a pas rejoint. Oui, elle est là.
Interprète : Qui est là?
Fatimata : Hawa Diakite.
Fatimata : Est-ce qu’Hawa est avec nous? Donc pour les représentations d’ALAC, je pense que ce qu’il fallait discuter par rapport à ALAC, c’est Hawa, qui a quitté maintenant, est au niveau du (inaudible). Et on devrait en discuter mais sans – en son absence. Je pense que (inaudible) réellement.
Tijani : Oui. D’accord.
Fatimata : Donc ce point-là aussi... Didier n’est pas là avec nous non plus.
Tijani : Oui.
Fatimata : Donc on ne peut pas en discuter réellement. Et je pense qu’à partir de là il faudrait que... bon, si on n’en discute pas de ces (inaudible) ça devra être discuté absolument à Nairobi.
Tijani : Oui.
Fatimata : Il faut qu’on ait des statuts clairs.
Tijani : (Inaudible).
Fatimata : Maintenant, pour la brochure AFRALO. Là on n’a rien fait. Rien.
Tijani : On n’a rien fait.
Fatimata : Nous avions un peu regardé les autres brochures (inaudible). On n’avait rien fait. Si je me souviens bien, Mohammed, je ne sais pas si tu es toujours là, si je me souviens bien on avait même proposé de travailler sur un site Web avec les drapeaux de chaque pays, etc. Mais on n’a rien fait jusqu’ici je pense. Est-ce que là, Yaovi, qui est notre non-com et tout et tout voudrait, en somme, faire le guide sur la brochure ou tu n’auras pas le temps?
Yaovi : Okay. Je vais essayer de (inaudible) quelque chose.
Fatimata : Tu vas proposer quelque chose. Merci Yaovi et bravo!
Tijani : Oui. Bravo!
Matthias : Fatimata, c’est Matthias.
Fatimata : Matthias?
Matthias : Oui. J’ai une question sur la brochure. Car je pense que ça serait une très, très bonne idée d’avoir la brochure à Nairobi comme un moyen pour faire de la sensibilisation et pour contacter des possibles ALS.
Fatimata : C’est ça.
Matthias : Et si on voulait avoir la brochure en français et en anglais, il faut qu’on ait quelque chose...
Fatimata : Avant mi-février.
Matthias : Oui. Disons oui, mi-février. Je pense que début février, peut-être vers le 10, le 12 février. Ça serait faisable. Mais il faut avoir la brochure soit en anglais soit en français trois, quatre semaines avant la conférence comme ça on peut les imprimer et on peut les traduire, (inaudible). Alors je ne sais pas s’il y a une seule personne, bien, serait suffisant. Peut-être qu’on pourrait formuler un groupe de travail pour travailler là-dessus. Je ne sais pas ça vous sert.
Fatimata : Est-ce que Michel peut appuyer Yaovi? Michel?
Yaovi : Michel est ligne?
Fatimata : Okay. Yaovi, je pense que tu peux contacter Michel.
Yaovi : Okay.
Fatimata : Essayer d’avoir son appui.
Tijani : Yaovi, on t’aidera tous, hein. Il suffit que tu composes quelque chose, on peut t’aider. Personnellement je ne pense pas que le mois de janvier va être – je pourrais faire grand-chose parce que je serai très occupé par l’opération de capacity building. Mais je pense qu’une fois c’est fait, un fois c’est bien avancé, je pourrai vraiment participer à faire ce dépliant-là.
Fatimata : Oui, oui. Tout le monde va participer. Mais le tout c’est d’avoir un...
Yaovi : (Inaudible).
Fatimata : Le sixième point. Tijani.
Tijani : Oui. Alors par contre, passer au sixième point, moi je me suis engagé à nous préparer des règles de procédure ou un règlement intérieur. Je l’avais fait à Séoul. Malheureusement je n’ai pas pu vous proposer quelque chose à la réunion du mois de décembre. Maintenant j’ai préparé un draft en français uniquement. Je le finirai probablement courant janvier et je vous le proposerai pour la réunion de février.
Deuxième point maintenant, le point six concernant, donc, le at large improvement plan. Comme vous le savez tous, il y a eu une téléconférence à ce propos le 17 décembre et les documents existent. Il y a eu un groupe de travail qui a proposé donc un rapport final. Et le rapport final existe dans les deux langues. Malheureusement, la version – la dernière version n’est disponible qu’en anglais. La version d’avant elle est disponible en français, et la différence n’est pas très grande. Il suffit de regarder donc... Si vous regardez la version de février en anglais – en français et vous revenez à la version anglaise de juin, vous allez voir que la différence n’est pas très grande et vous allez comprendre qu’est-ce qui est changé. Donc même ceux qui ne comprennent pas bien l’anglais ils vont pouvoir voir ce qui a été changé.
Alors ce qui est important dans cette (inaudible), moi je cours derrière, toujours derrière les participations des africains et des ALS africaines. Il y a un lien qui a été mis sur l’agenda à (inaudible) improvement plan, vous le voyez devant vous. Ce lien-là vous donne un tableau sur lequel il y a tous les points clés de ce rapport. Alors point par point, chaque point est représenté sous forme de tableau. Et dans ce tableau il y a une colonne qui – où on va mettre les noms des gens qui vont travailler dans les working groups, dans les groupes de travail concernant ces points-là. Je vous invite et je vous encourage et je vous propose et je vous – je vous prie de bien vouloir regarder, donc, ces tableaux-là et mettre votre nom devant le point qui vous intéresse, le point où vous pouvez apporter quelque chose. Ce que je souhaite de mon cœur c’est que les Africains soient présents dans ces groupes de travail.
Fatimata : Oui. Merci Tijani. Est-ce qu’il y a des commentaires, des questions par rapport à – à ce point? Non?
Interprète : Oui. Du côté anglais, Dave veut dire :
Pour Dave : Je voudrais informer que Mohammed a dit qu’il va travailler sur la brochure avec Yaovi ou n’importe qui. Il est disponible pour travailler sur ça.
Fatimata : Très bien. Merci. Merci Mohammed. Et donc sur le point six, il n’y a pas d’autres commentaires ou questions?
Yaovi : Oui. Question.
Fatimata : Oui?
Interprète : Yaovi qui parle?
Fatimata : Yaovi.
Yaovi : Par rapport au tableau, par rapport au tableau, je ne vois pas la colonne où les gens peuvent s’inscrire sur le tableau.
Tijani : C’est, je crois, la colonne 3 – la colonne 3 ou la colonne 2.
Fatimata : Working Group Committee.
Tijani : Yes. Working group Committee.
Yaovi : C’est le responsable.
Fatimata : Oui. Mais le responsable ou du groupe ou du comité. (Inaudible). Comme ça, bon, Tijani va remonter ça pour dire que, bon, voilà les membres d’AFRALO qui voudraient travailler dans tel ou tel groupe.
Tijani : Il a été mentionné, pendant la conf. call, pendant la téléconférence qu’il serait appréciable d’avoir des ALS, des représentants d’ALS dans ces groupes de travail. Et moi je pense que la distribution régionale n’est pas très équilibrée actuellement parce que nous ne participons pas, c’est tout. Ce n’est pas parce qu’on nous empêche de participer, c’est parce que nous ne participons pas. Et donc le – le mieux – enfin le mieux, ce qui est dans notre intérêt c’est de participer là où il faut participer. Là où on peut participer aussi.
Fatimata : Oui. Okay. Donc nous en sommes au (inaudible) point. At large (inaudible) appointment process. Est-ce que tout le monde lit avec moi? Enfin moi j’ai la version en français. (Inaudible) anglais. Il y a un groupe de travail présidé par Alan Greenberg en train de préparer un white paper sur le processus. Et une téléconférence pur ceux qui n’ont pas (inaudible) sujet sera organisée vers la fin d mois. Donc ce qu’on veut pouvoir faire, parce que je pense que par rapport a ce processus, je vais peut-être rafraîchire un peu la mémoire :
Il a été accepté pour ALAC d’avoir un membre qui a un droit de vote au niveau du Board. Et là (inaudible) simplement c’est de voir qui va élire ce membre-là. Quand on va l’élire, est-ce que c’est seulement les 15 membres ALAC qui vont l’élire ou bien est-ce que ce seront les 15 membres avec les cinq régions avec une voix par région ou bien ça va être avec toutes les ALS de la région? Comment on va le faire? Donc c’est ce processus-là, bon, qui a été discuté pendant un certain moment. Et maintenant il y a Alan Greenberg, qui est un membre d’ALAC, qui va préparer un draft sur le processus et donc à ce moment-là il va y aura une conférence sur ce draft qui sera discuté avant d’être adopté par (inaudible).
Est-ce que vous avez des questions sur ce (inaudible)?
Interprète : Cheryl veut parler. Excusez un instant. Go ahead Cheryl.
Pour Cheryl : Merci Fatimata, dit Cheryl. Moi j’ai déjà mis dans le chat, j’ai tapé, je veux (inaudible) à tout le monde qui est sur l’audio aussi, dit Cheryl, que le groupe de travail dont il fait partie Alan Greenberg, Dave, moi-même, Sébastien Bachollet et des autres, ce qu’ils ont préparé, ils ont préparé cette white paper, cette page blanche, rédigé dans la forme finale déjà ce rapport. Et ça – on va le finaliser. On a eu une réunion déjà aujourd’hui alors on ne fait plus ça aujourd’hui et demain. Et le white paper doit simuler cette discussion dont Fatimata fait référence. Et ça sera préparé au moins lundi et on l’aura français / anglais / espagnol. Et il y aura une période de 30 jours pour les remarques et commentaires, et pour la téléconférence qu’on va avoir à la fin de ce mois. Et de manière que les individus, les membres des ALS, les ALS elles-mêmes et les RALO vont participer dans cette discussion. On a un délai très, très étroit. Alors le plus vite on a vos remarques, le mieux c’est. Les remarques, les commentaires. Et si vous voulez avoir un appel régional, et on peut le faire plus tôt que l’appel principal, on va soutenir le fait que vous voulez un appel régional avant la téléconférence audio principale, si vous avez besoin de ça, dit Cheryl. Réactions?
Interprète : Thank you Cheryl.
Tijani : Fatimata?
Fatimata : Merci. Merci beaucoup Cheryl. Je pense que c’est une bonne chose et que, disons que nous pourrons réagir par rapport à ce document dès que ce sera posté. Et évidemment, que nous avons besoin d’avoir une position commune, mais nous pouvons commenter de manière individuelle au sujet de ce document-là également. (Inaudible).
Tijani : Cheryl avait posé la question si on a besoin d’un conf. Call, d’une téléconférence avant la téléconférence générale pour AFRALO. Fatimata?
Fatimata : Faire (inaudible) conf. Call.
Tijani : Oui. Elle avait dit : « Si vous avez besoin d’un call avant le call proposé à la fin du mois, et bien on peut organiser ça. » Concernant, justement, cette question de...
Fatimata : Concernant le white paper?
Tijani : Oui, concernant le white paper. Elle avait dit ça, n’est-ce pas Tricia?
Yaovi : Yaovi.
Fatimata : Ça m’a échappé ça.
Interprète : Pour Cheryl : Oui, c’est ça que j’avais dit, dit Cheryl. Oui c’est ça. Un autre appel pour vous avant celui principal.
Yaovi : Yaovi.
Tijani : Attend Yaovi. Attend.
Fatimata : Oui, Yaovi?
Yaovi : Oui. (Inaudible). Ça dépend de quand on reçoit le document, le white paper, dimanche comme elle a dit. Et ça dépendra du contenu. Donc une fois qu’on aura le contenu, on pourra, disons, dire s’il y aura besoin d’un conference call. Peut-être ce sera nécessaire mais le document (inaudible) d’abord. Merci.
Fatimata : Oui. Yaovi, c’est (inaudible). Mais c’est bien certain, l’expérience démontre que si on se met pas ensemble pour discuter pendant une heure ou deux (inaudible) sur une question, on n’avance pas. On (inaudible) mais les réactions, en général c’est deux ou trois personnes qui réagissent et on n’a pas de position commune au bout du compte. Et ça fait une très mauvaise impression quand même de ne pas pouvoir avoir une déclaration commune AFRALO pour dire que, voici la position d’AFRALO. Et je ne pense pas qu’il y ait meilleure idée, compte tenu des délais très courts, de pouvoir déterminer une position commune plus haut que la conf. call.
Maintenant le tout ça va être de voir les délais (inaudible). Si le document c’est ce dimanche, mais la date c’est fin janvier, il faut nous donner nous-même peut-être une semaine? Avant?
Tijani : Avant, oui.
Fatimata : Une semaine avant. On aura le temps, si le document est (inaudible) Yaovi, ça va (inaudible) de pouvoir le lire. Mais je doute que ça soit vraiment long. Parce que bon ça c’est des choses que nous avons toujours demandé (inaudible).
Et puis (inaudible).
Tijani : Moi aussi. Oui.
Fatimata : (Inaudible) une semaine après. Mohammed? Dave? Donc une semaine, (inaudible) du document.
Interprète : Un instant.
Pour Dave : Oui je suis d’accord, dit Dave, d’avoir un appel. Mais c’est aussi important qu’on va avoir les remarques sur le document quand c’est mis sur le Wikie. C’est très important qu’au moins on commence à voir les remarques de regarder ces points sur le Wikie pour commencer, et puis avoir, après ça, après le Wikie, avoir l’appel de conférence, dit Dave.
Interprète : Thank you Dave. Continuez Fatimata.
Fatimata : C’est (inaudible), je suis d’accord avec toi, Dave aussi. Je pense que c’est une bonne chose. Donc, Cheryl, nous sommes d’accord au point d’avoir ce conf. Call une semaine avant la fin du mois ou une semaine après la réception du document, comme vient de le suggérer Yaovi. Je pense qu’il va nous falloir un (inaudible) là encore pour qu’on puisse choisir la date et l’heure dès que la réception du document.
Je pense qu’on a déjà fait tous les points. Est-ce qu’il y a un point qu’on voudrait encore discuter, qui ne soit pas – (inaudible)? Non? Silence radio?
Tijani : Silence radio.
Fatimata : Donc je pense que – je pense qu’aujourd’hui on a fait une très bonne réunion et je voudrais donc prendre cette opportunité pour remercier tout le monde; Cheryl, Matthias, Gisella.
Tijani : Theresa.
Fatimata : Comment?
Tijani : Theresa.
Fatimata : Oui. Theresa, elle est partie Theresa, non?
Tijani : Oui, elle est partie.
Fatimata : Oui. Donc on l’avait déjà remerciée. Tous les membres d’AFRALO qui sont avec nous; Dave, Mohammed, Yaovi, Tijani, bien sûr, avec tout son engagement, son énergie. Et vraiment bravo pour la participation. Et merci à Tricia pour l’effort. Je sais que parfois on vous a un peu énervée mais c’est pas recherché. En tout cas merci à tout le monde.
Interprète : D’accord. Je... English side, anything to say? Just thank you – merci à tout le monde. Elle dit que Tricia est un héros. Héroïne disons. Alors thank you very much, thank you all. Alors merci à tout le monde. Thank you everybody. C’est fini alors?
Fatimata : (Inaudible). Thank you too.
Interprète : Thank you.
Fatimata : Okay. Bye-bye.
Tijani : Bye-bye.
Interprète : Bye-bye everybody. Au revoir à tout le monde.